Naissance de la vie
Dans les premiers chapitres de ce site, nous avons fait mention du principe d'entropie qui devient de plus en plus populaire au sein du monde scientifique. Comme nous l'avons précisé par la suite, ce principe soutient que l'Univers n'est pas un simple agrégat aléatoire de matière, sans but, mais qu'au contraire, il a été soigneusement et délibérément conçu pour servir de demeure à la vie humaine.
Depuis lors, nous avons découvert beaucoup de preuves démontrant que le principe d'entropie est véridique : Des preuves allant de la vitesse de l'expansion du Big Bang aux équilibres physiques des atomes, des puissances relatives des quatre forces fondamentales à l'alchimie des étoiles, des mystères des dimensions de l'espace à la disposition du système solaire. Et partout, nous avons rencontré un ordre extraordinairement précis dans la structure de l'Univers.
Nous avons vu comment la structuration et les dimensions du monde et de l'atmosphère sont exactement ce qu'elles doivent être. Nous avons remarqué comment la lumière qui nous parvient du soleil, l'eau que nous buvons, tous les atomes qui composent nos corps et l'air que nous inhalons constamment dans nos poumons sont étonnamment adaptés pour la vie.
En bref, quoi que nous observions dans l'Univers, nous rencontrons une conception extraordinaire qui a pour but de consolider la vie humaine.
Nier la réalité de cette conception serait, tout comme le psychiatre Karl Stern le dit, transgresser la raison : « L'idée que notre Univers merveilleux pourrait avoir évolué par hasard est insensée. Je n'utilise pas du tout le mot "insensé" dans le sens d'une injure mais plutôt dans sa signification technique de psychotique. En effet, une telle vue a beaucoup en commun avec certains aspects de la pensée schizophrène ».
Les implications de cette conception sont également évidentes. La conception cachée dans chaque détail de l'Univers est très certainement preuve de l'existence d'un Créateur qui contrôle chaque détail et dont la puissance et la sagesse sont infinies. Comme la théorie du Big Bang l'a révélé, ce Créateur a créé l'Univers à partir du néant.
Evidemment, la découverte de cette vérité par la science a dérangé un certain nombre de scientifiques qui considère la science comme étant synonyme de « matérialisme » ; ceux-ci sont convaincus que la science et la religion ne pourront jamais s'entendre et que le terme « scientifique » est synonyme d'« athée ». Ils ont été conditionnés à croire que l'Univers et toute la vie peuvent être expliqués comme produits d'événements hasardeux complètement exempts d'intention ou de conception.
Quand de telles personnes se trouvent face au fait évident de la création, leur grande consternation et confusion sont naturelles.
Afin de comprendre la consternation des matérialistes, nous devons jeter un coup d'œil à la question de l'origine de la vie.
L'origine de la vie
L'origine de la vie, la question de savoir comment les premières espèces vivantes sont apparues sur Terre, est l'un des plus grands dilemmes auquel ont été confrontés les matérialistes ce dernier siècle et demi. Pourquoi cela devrait-il être ainsi ? Même une seule cellule vivante, la plus petite unité de vie, est incomparablement plus complexe que les plus grands développements technologiques de l'humanité.
Les lois de probabilité indiquent clairement que même une seule protéine ne pourrait jamais se former par hasard ; si ceci est donc vrai pour les protéines -les éléments de base les plus fondamentaux des cellules- la formation accidentelle d'une cellule complète n'est juste vraiment pas concevable. Ceci est sans aucun doute une preuve de création.
Nous avons vu dans les premiers chapitres de ce site l'impossibilité de la formation par accident des équilibres qui règnent dans l'Univers.
Nous allons démontrer maintenant comment la même chose est vraie même pour la forme de vie la plus simple.
Il existe une étude sur ce sujet à laquelle nous pouvons nous référer : c'est en fait un calcul effectué par Robert Shapiro, un professeur de chimie de l'Université de New York et expert en ADN.
Shapiro, qui est à la fois un Darwiniste et un évolutionniste, a calculé la probabilité d'une éventuelle formation par hasard de chacun des 2.000 différents types de protéines nécessaires composant même une bactérie simple (le corps humain en contient environ 200.000 types différents).
Selon Shapiro, la probabilité est de d'1 sur 10 puissance 40.000 (Ce nombre signifie "1" suivi de quarante mille zéros ; il n'a aucun équivalent dans l'Univers.)
La signification du nombre de Shapiro est claire : L' « explication » matérialiste (et Darwiniste bien sûr) qui prétend que la vie évolua par accident est totalement invalide.
Chandra Wickramasinghe, un professeur de mathématique et d'astronomie appliquées à l'Université de Cardiff, fit un commentaire concernant la découverte de Shapiro : « La probabilité de la formation spontanée de la vie à partir de la matière inanimée est d'1 suivi de 40.000 zéros... C'est assez grand pour enterrer Darwin et la théorie entière de l'évolution. Il n'y avait aucun potage primitif, ni sur cette planète ni sur d'autres, et si la genèse de la vie n'est pas aléatoire, elle doit donc être le produit d'intelligence intentionnelle ».
L'astronome Fred Hoyle fit la même remarque : « En effet, une telle théorie (que la vie ait été assemblée par intelligence supérieure) est si évidente que l'on se demande pourquoi elle n'est pas généralement reconnue en tant que telle. Les raisons en sont plutôt psychologiques que scientifiques ».
Wickramasinghe et Hoyle sont deux savants qui ont abordé la science avec une tendance matérialiste pendant la plupart de leurs carrières ; ils furent cependant confrontés à la vérité, soit que la vie a été créée. Ils ont tous les deux eu le courage de le reconnaître.
Aujourd'hui, de plus en plus de biologistes et de biochimistes ont mis de côté l'hypothèse appartenant au monde des contes de fées que la vie pouvait avoir commencé par hasard.
Ceux encore fidèles au Darwinisme -ceux qui affirment toujours que la vie est le fruit du hasard- sont en effet consternés.
Le biochimiste Michael Behe commenta cette situation : « La soudaine prise de conscience que la vie a été conçue par une intelligence est un véritable choc pour nous, Hommes du vingtième siècle, qui avons pris l'habitude de considérer la vie comme étant le résultat de lois naturelles simples ».
La science moderne a elle-même prouvé la vérité de la création. Il est maintenant temps pour le monde scientifique de faire face à cette vérité et d'en tirer une leçon.
La vie est apparue sur terre soudainement et sous forme complexe
Quand on examine les strates terrestres et l'ensemble des fossiles répertoriés, on voit que les organismes vivants sont apparus de façon simultanée. La période “Cambrienne” est la plus ancienne strate terrestre dans laquelle des fossiles de créatures vivantes furent trouvés. Son âge est estimé être de 530-520 millions d'années.
Les créatures vivantes découvertes dans les strates appartenant à cette période ont émergé tout à coup dans l'ensemble des fossiles répertoriés sans avoir d'ancêtre préexistant. La vaste mosaïque des organismes vivants, composée d'un si grand nombre de créatures complexes, est apparue si soudainement que cet événement miraculeux est reconnu sous le nom de "l'explosion cambrienne" dans la littérature scientifique.
La plupart des organismes trouvés dans cette strate possèdent des organes hautement avancés comme les yeux ou des systèmes trouvés chez des organismes ayant une organisation très avancée telle que l'ouïe, le système circulatoire etc. Il n'y a aucun signe, dans l'ensemble des fossiles répertoriés, qui indique que ces organismes ont eu des ancêtres.
Richard Monestarsky, l'éditeur du magazine Earth Sciences, énonce au sujet de l'apparition soudaine des espèces vivantes : “Les formes remarquablement complexes des animaux que nous voyons aujourd'hui sont soudainement apparues il y a un demi-milliard d'années. Ce moment, tout au début de la période cambrienne, il y a environ 550 millions d'années, marque l'explosion évolutive qui a rempli les mers des premières créatures complexes du monde. Le grand phylum animal d'aujourd'hui était déjà présent au début du Cambrien et ils étaient alors distincts l'un de l'autre, comme ils le sont aujourd'hui”.
Les évolutionnistes ne peuvent toujours pas expliquer le fait que la terre regorge de milliers d'espèces d'animaux différentes. Pour combler ce vide, ils proposent l'existence d'une période imaginaire de 20 millions d'années précédant la Période Cambrienne.
L'existence de cette période expliquerait, selon eux, les origines de la vie et la façon dont "l'inconnu s'est produit".
Cette période s'appellerait "l'intervalle évolutif". Son existence ne fût jamais prouvée et le concept demeure, aujourd'hui, commodément flou et indéfini.
En 1984, de nombreux invertébrés complexes furent déterrés à Chen Yang, situé sur le plateau central de Yunnan dans le haut pays du sud-ouest de la Chine. Parmi eux, on trouva des trilobites, qui sont maintenant éteints mais qui possèdent néanmoins une structure aussi complexe que n'importe lequel des invertébrés modernes.
Le paléontologue évolutionniste suédois, Stefan Bengston, explique la situation comme suit :
“S'il existe un seul un événement dans l'histoire de la vie qui ressemble aux mythes de la création de l'homme, c'est cette diversification soudaine de la vie marine, quand les organismes multicellulaires sont devenus les acteurs dominants de l'écologie et l'évolution. Consternant (et embarrassant) pour Darwin, cet événement nous éblouit toujours”.
L'apparition soudaine de ces êtres vivants complexes et sans prédécesseurs est tout aussi consternante (et embarrassante) pour les évolutionnistes aujourd'hui qu'elle l'était pour Darwin il y a 135 ans. Pendant plus d’un siècle et demi, ils n'ont pas avancé d'un pas au-delà du point atteint par Darwin.
Comme on peut le voir, les fossiles répertoriés démontrent que les êtres vivants n'ont pas évolué à partir de formes primitives, mais plutôt qu'ils se sont formés tout à coup et de façon parfaite.
L'absence de formes transitionnelles n'est pas particulière à la période cambrienne.
Pas une seule forme intermédiaire transitionnelle vérifiant la "progression" évolutive alléguée des vertébrés -des poissons aux amphibies, aux reptiles, aux oiseaux et aux mammifères- ne fut jamais trouvée. Chaque espèce vivante est apparue instantanément dans l'ensemble des fossiles répertoriés sous sa forme actuelle qui est parfaite et complète.
L’impasse des formes intermédiaires
Darwin avait écrit : “Si ma théorie est vraie, d’innombrables variétés intermédiaires… ont assurément dû exister”.
Cependant, les évolutionnistes, malgré leurs laborieuses recherches longues de 170 années, n’ont pas été capables d’en trouver au moins une.
La théorie de l’évolution affirme que les créatures vivantes descendent d’un ancêtre commun. Selon cette théorie, les êtres vivants se sont différenciés les uns des autres durant une très longue période par des modifications liées et graduelles.
Si cette affirmation était véridique, alors de nombreuses "espèces intermédiaires" auraient vécu dans l’histoire, reliant différentes espèces vivantes. Par exemple, si les oiseaux avaient en effet évolué des reptiles, alors des millions de créatures qui étaient mi-oiseau mi-reptile auraient vécu à travers l’histoire.
Darwin savait que les dépôts de fossiles auraient dû être pleins de ces " formes transitionnelles intermédiaires ", mais il était également conscient qu’aucun fossile de formes transitionnelles n’avait été trouvé. Voilà pourquoi il consacra un chapitre à ce problème dans son livre L’origine des espèces.
Darwin espérait que ce grand problème serait résolu dans le futur et que les formes transitionnelles seraient découvertes avec de nouvelles excavations.
Toutefois, et malgré leurs efforts continus, les évolutionnistes n’ont pas été capables de trouver une seule forme intermédiaire depuis les 170 ans passés depuis Darwin. Le célèbre évolutionniste Derek Ager avoue cette vérité : “Le détail qui ressort de cela, si nous examinons le registre fossile en détail, nous ne trouverons – encore une fois – pas d’évolution graduelle, mais l’explosion soudaine d’un groupe aux dépens de l’autre”.
La création soudaine des êtres vivants sur Terre est une preuve que Dieu les a créés.
L’évolutionniste biologiste Douglas Futuyma l’admet : “Soit les organismes apparaissent sur Terre complètement développés, soit ils ne le sont pas. Dans ce cas, ils ont dû se développer d’une espèce préexistante par quelques processus de modification. S’ils sont apparus dans un état complètement développé, ils ont dû en fait être créés par une intelligence omnipotente”.
En d'autres termes, les êtres vivants ne se sont pas le produit de l'évolution. Ils ont été créés.
La vie peut-elle être le résultat du hasard comme le prétend la théorie de l'évolution ?
La théorie de l'évolution soutient que la vie a commencé par une cellule qui s'est formée par hasard dans des conditions terrestres primitives. Examinons donc la composition de la cellule en faisant de simples comparaisons. Cela nous permettra de montrer à quel point il est irrationnel d'attribuer l'existence de la cellule (une structure qui reste, au 21ème siècle, un mystère à bien des égards) à des phénomènes naturels et au hasard.
Avec tous ses systèmes opérationnels, ses systèmes de transmission, de transport et de gestion, une cellule est aussi complexe que n'importe quelle ville.
Elle contient des centrales électriques qui produisent l'énergie consommée par la cellule, des usines qui fabriquent les enzymes et les hormones essentielles à la vie, une base de données où toutes les informations nécessaires sur tout ce qui va être produit sont enregistrées, des systèmes de transport et de canalisation complexes qui portent les matières premières et les produits d'un endroit à l'autre, des laboratoires et des raffineries avancées qui décomposent les matières premières importées afin de les rendre utilisables, et des protéines spécialisées dans la membrane des cellules qui règlent l'entrée et la sortie des matériaux. Tout ceci n'est qu'une petite partie de ce système incroyablement complexe.
Loin d'avoir été formée sous des conditions terrestres primitives, la cellule, si complexe dans sa composition et ses mécanismes, ne peut toujours pas être synthétisée dans les laboratoires les plus sophistiqués de notre jour. Il n'est toujours pas possible de produire une simple organelle cellulaire, telle que les mitochondries ou les ribosomes, même en utilisant des acides aminés, les composants de base de la cellule. Prétendre que la première cellule soit le fruit d'une coïncidence évolutive est autant un produit de l'imagination et une fantaisie que l'est l'existence de la licorne.
Les protéines anéantissent la thèse de la coïncidence
Il n'y a pas que la cellule qui ne puisse pas être produite : sous des conditions normales, la formation d'une seule protéine, parmi des milliers de molécules complexes composant une cellule, est impossible.
Les protéines sont des molécules géantes composées d'acides aminés classés dans un ordre particulier, selon certaines quantités et structures. Ces molécules constituent les éléments de base d'une cellule vivante. La plus simple est composée de 50 acides aminés ; mais il existe des protéines composées de milliers d'acides aminés. L'absence, l'addition ou le remplacement d'un simple acide aminé dans la structure d'une protéine d'une cellule vivante, transformerait la protéine en un segment moléculaire inutile. Incapables de démontrer "la formation accidentelle" des acides aminés, les évolutionnistes se trouvent bloqués par la formation de protéines.
Nous pouvons facilement démontrer, par de simples calculs de probabilité accessibles à tous, que la structure fonctionnelle des protéines ne peut nullement avoir été créée par hasard.
Il existe vingt acides aminés différents. Si nous considérons qu'une molécule de protéine moyenne se compose de 288 acides aminés, nous réalisons alors qu'il existe 10 puissance 300 différentes combinaisons possibles d'acides.
Parmi toutes ces combinaisons possibles, seule "une" peut former la molécule de protéine désirée. Les autres chaînes d'acides aminés sont soit complètement inutiles, soit potentiellement nocives pour les êtres vivants.
En d'autres termes, la probabilité de la formation par coïncidence d'une seule molécule de protéine n'est que de "1 sur 10 puissance 300". La probabilité que ce "1" se produise parmi un nombre "astronomique" se composant de 1 suivi de 300 zéros est pratiquement égale à zéro ; c'est impossible. De plus, une molécule de protéine de 288 acides aminés est relativement modeste comparée à certaines molécules de protéines géantes composées de milliers d'acides aminés.
Quand nous appliquons de semblables calculs de probabilité à ces molécules de protéines géantes, nous voyons que même le mot "impossible" devient insuffisant.
Si la formation par coïncidence de l'une de ces protéines est impossible, il est encore des milliards de fois moins probable qu'un million de ces protéines se soient formées par hasard de façon organisée et qu'elles puissent composer une cellule humaine complète. D'ailleurs, une cellule n'est pas une simple collection de protéines. Protéines mises à part, les cellules sont également composées d'acides nucléiques, d'hydrates de carbone, de lipides, de vitamines, et de beaucoup d'autres produits chimiques tels que les électrolytes, qui sont arrangés harmonieusement et en proportions spécifiques en termes de structure et fonction.
Tous fonctionnent comme module ou composant dans diverses organelles.
Comme nous l'avons vu, la théorie de l'évolution est incapable d'expliquer la formation d'une seule simple protéine parmi les millions qui existent dans une cellule. Comment pourrait-elle, dans ces conditions, expliquer la formation d'une cellule complète ?
Le Prof. Dr. Ali Demirsoy, l'un des évolutionnistes les plus importants de Turquie, dans son livre Evrim ve Kalıtım, discute de la probabilité de la formation accidentelle du Cytochrome-C, l'une des enzymes essentielles à la vie : “La probabilité de la formation d'une séquence de Cytochrome-C est, pour ainsi dire, de zéro. C'est-à-dire, que si la vie exige une certaine séquence, la probabilité que la vie apparaisse n'est que d'une fois dans l'Univers entier. Sinon, cela signifierait que certaines puissances métaphysiques au-delà de notre compréhension ont agi dans sa formation. Accepter ce dernier point serait aller à l'encontre de la science. Nous devons donc nous en tenir à la première hypothèse”.
En écrivant ces mots, Demirsoy admet l'invraisemblance de cette probabilité qu'il n'accepte que parce qu'elle est "plus appropriée aux buts de la science" : “Il est aussi peu probable de former la séquence particulière d'acides aminés du Cytochrome-C que de faire écrire l'histoire de l'humanité à un singe sur une machine à écrire, en supposant que le singe tape sur le clavier de manière aléatoire”.
Une séquence correcte d'acides aminés appropriés n'est pourtant pas suffisante pour permettre la formation d'une seule des molécules de protéine présentes dans les êtres vivants.
En outre, chacun des vingt différents types d'acides aminés qui composent les protéines doit être "gaucher". Chimiquement, il y a deux différents types d'acides aminés, ceux qui sont "gauchers" et ceux qui sont "droitiers". La "symétrie de miroir" entre leurs structures tridimensionnelles est différente, comme l'est la symétrie entre la main droite et la main gauche d'une personne. Ces deux types d'acides aminés se trouvent en nombres égaux dans la nature et peuvent parfaitement s'unir. Cependant, la recherche dévoile un fait étonnant :
Toutes les protéines présentes dans la structure des choses vivantes sont composées d'acides aminés gauchers. Donc, si on attachait un acide aminé droitier à la structure d'une protéine, elle deviendrait inutile.
Supposons, l'espace d'un instant, que la vie soit le fruit du hasard, comme le prônent les évolutionnistes. Dans ce cas, les acides aminés droitiers et gauchers devraient être présents partout dans la nature en quantités presque égales. Les évolutionnistes ne parviennent pas à expliquer que les protéines puissent sélectionner uniquement les acides aminés gauchers et n'arrivent pas non plus à expliquer qu'il n'y ait aucun acide aminé droitier impliqué dans le processus de la vie.
Dans Britannica Science Encyclopaedia, un ouvrage qui défend ardemment la théorie de l'évolution, les auteurs indiquent que cette asymétrie gauchère se trouve dans les acides aminés de toute la matière organique terrestre et dans les composants de base de polymères complexes tels que des protéines. Ils ajoutent que cela équivaut à jeter une pièce de monnaie en l'air des millions de fois et à toujours obtenir la même face.
Dans la même encyclopédie, ils déclarent qu'il n'est pas possible de comprendre pourquoi les molécules deviennent gauchères ou droitières, et que ce choix est lié à la source de la vie sur Terre d'une manière fascinante.
Il ne suffit pas que les acides aminés soient arrangés en nombres, en séquences et en structures tridimensionnelles appropriés. La formation d'une protéine exige également que les molécules d'acides aminés ayant plus d'une terminaison soient seulement reliées par certaines de ces terminaisons. Un tel lien s'appelle un "lien de peptide". Les acides aminés peuvent être reliés de manières différentes, pourtant, les protéines ne comportent que des acides aminés qui se joignent par un lien "peptide".
Les recherches ont prouvé que seulement 50% des acides aminés, lorsqu'ils sont combinés au hasard, se lient avec un lien peptide. De plus, il est prouvé qu'ils se lient alors avec des liens qui ne sont pas présents dans les protéines. Pour fonctionner correctement, chaque acide aminé d'une protéine doit se joindre à d'autres acides aminés avec un lien peptide, de même qu'il doit être gaucher. Incontestablement, il n'y a aucun mécanisme de commande qui choisisse ou rejette les acides aminés droitiers ou qui s'assure personnellement que chaque acide aminé soit lié par un lien peptide.
Dans ces circonstances, la probabilité que les cinq cents acides aminés d'une molécule de protéine moyenne s'organisent en quantité adéquate et dans la bonne séquence, et que tous les acides aminés soient gauchers et ne se lient que par des liens peptides est comme suit :
Comme vous pouvez le voir ci-dessus, la probabilité de la formation d'une molécule de protéine comportant cinq cents acides aminés est de "1" divisé par un nombre constitué en plaçant 950 zéros après un 1, un nombre incompréhensible à l'esprit humain. Ceci n'est qu'une probabilité théorique.
Pratiquement, une telle possibilité a "0" chance de se réaliser.
En mathématique, une probabilité plus petite que 1 divisé par 10 puissance 50 est statistiquement considérée comme ayant "0" probabilité de réalisation.
L'improbabilité de la formation d'une molécule de protéine composée de cinq cents acides aminés atteignant une telle ampleur, nous pouvons pousser les limites de l'esprit à des niveaux d'improbabilité encore plus élevés.
Par exemple, il y a cinq cent soixante-quatorze acides aminés dans la molécule d'"hémoglobine", une protéine essentielle à la vie. Ce nombre est beaucoup plus grand que celui des acides aminés composant la protéine mentionnée ci-dessus.
Considérez maintenant ceci : Dans un seul des milliards de globules rouges de votre corps, il y a "280.000.000" (280 millions) de molécules d'hémoglobine. L'âge supposé de la Terre n'est pas suffisant pour permettre d'imaginer la formation d'une simple protéine, et l'est encore moins pour un globule rouge. La conclusion de tout ceci est que l'évolution tombe déjà dans un terrible gouffre d'improbabilité à l'étape de la formation d'une simple protéine.
Chercher des réponses à la génération de la vie
Conscients que la thèse du hasard était “extrêmement” faible, les évolutionnistes ne pouvaient pas fournir d'explication raisonnable qui puisse justifier leur croyance.
Ainsi, ils ont commencé à chercher à démontrer que les probabilités n'étaient pas si défavorables. Ils ont conçu un certain nombre d'expériences de laboratoire pour résoudre la question suivante : Comment la vie pourrait-elle être générée à partir de matière inanimée ?
La plus célèbre et respectée de ces expériences est connue sous le nom de "l'expérience de Miller" ou "l'expérience d'Urey-Miller", car elle a été entreprise par le chercheur américain Stanley Miller en 1953. Miller a prétendu avoir recréé, dans son laboratoire, l'atmosphère terrestre primitive (qui plus tard a été reconnue comme étant irréaliste) et s'est mis à travailler.
Son but était de prouver que les acides aminés pourraient être apparus par accident. Le mélange qu'il a utilisé pour former cette atmosphère primitive était composé d'ammoniaque, de méthane, d'hydrogène, et de vapeur d'eau.
Miller savait que le méthane, l'ammoniaque, la vapeur d'eau et l'hydrogène ne réagiraient pas l'un avec l'autre sous des conditions normales. Il savait qu'il devait injecter de l'énergie dans ce mélange pour qu'il y ait une réaction. Il a proposé que cette énergie avait été fournie, dans l'atmosphère primitive, par des coups de foudre. En se basant sur cette supposition, il a utilisé une décharge d'électricité artificielle pendant ses expériences.
Miller a fait bouillir ce mélange de gaz à 100°C pendant une semaine et y a aussi installé un courant électrique. A la fin de la semaine, Miller a analysé les produits qui s'étaient formés et a observé que trois des vingt acides aminés qui constituent les éléments de base des protéines avaient été synthétisés. Cet essai a engendré une grande excitation chez les évolutionnistes et ils l'ont présenté comme étant un succès extraordinaire. Encouragés par la pensée que cet essai avait définitivement vérifié leur théorie, les évolutionnistes ont immédiatement produit de nouveaux scénarios. Miller avait prétendument prouvé que les acides aminés pouvaient se former par eux-mêmes. Sur cette base, ils ont tout de suite inventé des hypothèses concernant les étapes suivantes. D'après leur scénario, les acides aminés se seraient plus tard unis par accident dans les séquences appropriées pour former les protéines. Certaines de ces protéines formées par hasard se seraient placées dans des structures similaires à celles de la membrane d'une cellule. Ces structures, auraient émergé "d'une façon ou d'une autre" et auraient ensuite formé une cellule primitive. Les cellules se seraient ensuite unies avec le temps et auraient formé la matière organique. La base principale de ce scénario était l'expérience de Miller.
Cependant, l'expérience de Miller n'était rien d'autre qu'une fraude et son invalidité a déjà été prouvée à bien des égards.
L'invalidité de l'expérience de Miller
Presque un demi-siècle s'est écoulé depuis que Miller a entrepris son expérience. Bien qu'elle se soit avérée incorrecte à bien des égards, les évolutionnistes soutiennent encore Miller. Ils considèrent ses résultats comme étant une preuve absolue montrant que la vie pourrait avoir été formée spontanément à partir de matière inanimée. Cependant, si nous évaluons l'expérience de Miller de façon critique, sans la polarisation et la subjectivité de la pensée évolutionniste, il est évident que la situation n'est pas aussi attrayante que le disent les évolutionnistes.
Miller a tenté de prouver que les acides aminés auraient pu se former par eux-mêmes sous les conditions terrestres primitives. Il est parvenu à produire quelques acides aminés, pourtant, la conduite de l'expérience contredit son propre but de plusieurs façons, comme nous le verrons maintenant.
Miller a isolé les acides aminés de leur environnement dès qu'ils ont été formés en utilisant un mécanisme appelé "un piège froid". S'il n'avait pas agi ainsi, les conditions de l'environnement dans lequel les acides aminés se sont formés auraient immédiatement détruit les molécules.
Il est tout à fait insignifiant de supposer qu'un mécanisme conscient de cette sorte se soit trouvé dans les conditions terrestres primitives qui comportaient des rayonnements ultraviolets, des coups de foudre, divers produits chimiques, et un pourcentage élevé d'oxygène libre.
Sans un tel mécanisme, n'importe quel acide aminé qui se serait formé aurait immédiatement été détruit.
L'environnement atmosphérique primitif que Miller a essayé de simuler dans son expérience n'était pas réaliste. L'azote et l'anhydride carbonique auraient été des constituants de l'atmosphère primitive, mais Miller les a négligés et a utilisé du méthane et de l'ammoniaque à leur place.
Pourquoi ? Pourquoi les évolutionnistes insistent-ils sur le point que l'atmosphère primitive ait contenu des montants élevés de méthane (CH4), d'ammoniaque (NH3), et de vapeur d'eau (H2O) ? La réponse est simple : Sans ammoniaque, il est impossible de synthétiser un acide aminé.
Kevin McKean parle de ceci dans un article édité dans le magazine Discover : “Miller et Urey ont imité l'atmosphère antique de la terre avec un mélange de méthane et d'ammoniaque. Selon eux, la Terre était un mélange homogène de métal, de roche et de glace. Toutefois dans les dernières études, on comprend que la Terre était très chaude à cette époque et qu'elle était composée de nickel et de fer fondus. Par conséquent, l'atmosphère chimique de cette période devait surtout être constituée d'azote (N2), d'anhydride carbonique (CO2) et de vapeur d'eau (H2O). Toutefois ces derniers ne sont pas aussi appropriés que le méthane et l'ammoniaque pour la formation de molécules organiques”.
Après une longue période de silence, Miller lui-même a également admis que l'environnement atmosphérique qu'il avait utilisé dans son expérience n'était pas réaliste.
Un autre point important infirmant l'expérience de Miller est qu'il y avait, pendant la période où les évolutionnistes situent la formation des acides aminés, assez d'oxygène pour détruire tous les acides aminés de l'atmosphère.
Cette concentration d'oxygène aurait certainement gêné la formation des acides aminés. Cette situation contredit complètement l'expérience de Miller dans lequel il a totalement négligé l'oxygène. S'il avait utilisé de l'oxygène dans son expérience, le méthane se serait décomposé en anhydride carbonique et en eau, et l'ammoniaque se serait décomposée en azote et eau.
D'autre part, puisqu'il n'y avait pas encore de couche d'ozone, aucune molécule organique n'aurait pu survivre sur Terre parce qu'elle aurait été entièrement exposée à des rayons ultraviolets intenses.
De plus, mis à part quelques acides aminés essentiels à la vie, l'expérience de Miller a également produit beaucoup d'acides organiques nuisibles aux structures et aux fonctions des êtres vivantes. S'il n'avait pas isolé les acides aminés et les avait laissés dans le même environnement avec ces produits chimiques, leur destruction ou leur transformation chimique en d'autres composés aurait été inévitable. D'ailleurs, un grand nombre d'acides aminés droitiers a également été formé pendant cette expérience.
L'existence de ces acides aminés réfute la théorie dans son propre raisonnement, parce que les acides aminés droitiers ne peuvent pas fonctionner dans la composition de la matière organique. Ils rendent les protéines inutiles quand ils sont impliqués dans leur composition.
Pour conclure, les circonstances dans lesquelles les acides aminés ont été formés dans l'expérience de Miller n'étaient pas appropriées pour l'émergence de la vie. Les conditions dans lesquelles ils ont été formés étaient un mélange acide qui aurait détruit et oxydé toutes les molécules utiles obtenues.
En présentant cette expérience en tant que "preuve", les évolutionnistes eux-mêmes réfutent en réalité la théorie de l'évolution, comme ils le font souvent. Si cette expérience prouve quoique ce soit, c'est que les acides aminés peuvent seulement être produits sous contrôle, dans un environnement de laboratoire où toutes les conditions nécessaires ont été spécifiquement et consciemment conçues. C'est-à-dire que l'expérience prouve que ce qui permet à la vie d'exister (même à la "proto-vie" des acides aminés) ne peut pas être le résultat de la chance inconsciente, mais plutôt une volonté consciente - en un seul mot, la création.
C'est pourquoi chaque étape de la création est un signe qui nous prouve l'existence et le pouvoir d’un Créateur.
La Molécule Miraculeuse : L'ADN
La théorie de l'évolution n'a pas pu fournir d'explication logique pour l'existence des molécules qui sont à la base de la cellule. En outre, les développements de la science de la génétique et de la découverte des acides nucléiques (ADN et ARN) ont créé de nouveaux problèmes pour la théorie de l'évolution.
En 1955, les recherches sur l'ADN entreprises par deux scientifiques, James Watson et Francis Crick, ont ouvert une nouvelle ère dans la biologie.
Beaucoup de scientifiques ont dirigé leur attention sur la génétique. Aujourd'hui, après des années de recherche, les scientifiques ont, en grande partie, tracé la structure de l'ADN. Nous devons, ici, fournir un peu plus d'information élémentaire sur la structure et la fonction de l'ADN :
La molécule appelée ADN, qui existe dans le noyau de chacune des 100 trillions de cellules de notre corps, contient le plan de construction complet du corps humain. L'information concernant toutes les caractéristiques d'une personne, de son aspect physique à la structure de ses organes intérieurs, est enregistrée dans l'ADN au moyen d'un système de codage spécial.
L'information de l'ADN est codée dans la séquence des quatre bases spéciales qui composent cette molécule. Ces bases, sont nommées A, T, G, et C selon les initiales de leurs noms.
Toutes les différences structurelles entre les gens dépendent des variations dans l'ordre de ces bases. Il y a approximativement 3.5 milliards de nucléotides, c'est-à-dire 3.5 milliards de lettres dans une molécule d'ADN.
Les données d'ADN concernant un organe ou une protéine particulière sont inclues dans certains composants spéciaux appelés les "gènes". Par exemple, les informations concernant l'œil se trouvent dans une série de gènes spéciaux, tandis que les informations concernant le cœur se trouvent dans une série de gènes tout à fait différente. La cellule produit des protéines en utilisant l'information qui se trouve dans tous ces gènes. Les acides aminés qui constituent une protéine sont définis par l'organisation séquentielle de trois nucléotides dans l'ADN.
Un détail important mérite notre attention. Une erreur dans l'ordre des nucléotides composant un gène rend le gène complètement inutile. Quand nous considérons qu'il y a 200 mille gènes dans le corps humain, il devient plus clair qu'il est impossible que les millions de nucléotides composant ces gènes aient été accidentellement formés dans le bon ordre. Un biologiste évolutionniste, Frank Salisbury, présente ainsi ses observations sur cette impossibilité :
Une protéine moyenne pourrait contenir environ 300 acides aminés. Le gène d'ADN contrôlant ceci aurait une chaîne d'environ 1.000 nucléotides. Puisqu'il y a quatre genres de nucléotides dans une chaîne d'ADN, une chaîne ayant 1.000 liens pourrait exister sous 4 puissance 1000 formes différentes. En utilisant un peu d'algèbre (logarithmes), nous pouvons voir que 4 puissance 1000=10 puissance 600. Dix multiplié par soi-même 600 fois équivaut à 1 suivi de 600 zéros ! Ce nombre est complètement au-delà de notre compréhension.
Prof. Ali Demirsoy, un évolutionniste, fut obligé d'admettre, à ce sujet : “En fait, la probabilité de la formation aléatoire d'une protéine et d'un acide nucléique (DNA-RNA) est inconcevablement petite. Les chances contre l'apparition d'une seule chaîne particulière de protéine sont astronomiques”.
En plus de toutes ces improbabilités, l'ADN peut à peine être impliqué dans une réaction en raison de sa forme spirale en double chaîne.
Il devient alors impossible de penser que ceci puisse être la base de la vie.
D'ailleurs, alors que l'ADN ne peut se reproduire qu'avec l'aide de quelques enzymes qui sont en réalité des protéines, la synthèse de ces enzymes peut seulement être réalisée par l'information codée dans l'ADN.
Etant donné qu'elles toutes les deux dépendent de l'une de l'autre, soit elles ont du exister en même temps pour la reproduction, soit l'une d'elles a dû "être créée" avant l'autre. Le microbiologiste américain Jacobson présente ses observations sur le sujet : “Toutes les instructions concernant la reproduction de plans, pour l'énergie, et l'extraction de certaines parties de l'environnement actuel, pour l'ordre de croissance, et le mécanisme effecteur qui transforme les instructions en croissance - tout devait être simultanément présent à ce moment (quand la vie a commencé). Cette combinaison d'événements semble être une coïncidence incroyablement improbable, et a été souvent attribuée à l'intervention divine”.
La citation ci-dessus a été écrite par James Watson et Francis Crick, deux ans après la révélation de la structure de l'ADN. En dépit de tous les développements scientifiques, ce problème demeure non résolu pour les évolutionnistes.
Pour résumer, le besoin d'ADN pour la reproduction, la nécessité de la présence de certaines protéines pour la reproduction, et l'exigence que ces protéines soient produites selon l'information qui se trouve dans l'ADN, démolissent entièrement les thèses évolutionnistes.
Deux scientifiques allemands, Junker et Scherer, ont expliqué que la synthèse de chacune des molécules exigées pour l'évolution chimique, nécessite des conditions distinctes, et que la probabilité de composer ces matériaux, qui ont en théorie des méthodes d'acquisition très différentes, est de zéro : “Jusqu'ici, on ne connaît aucune expérience qui permette d'obtenir toutes les molécules nécessaires pour l'évolution chimique. Par conséquent, il est essentiel de produire diverses molécules dans des endroits différents et dans des conditions très appropriées. Ensuite, il faut, pour la réaction, les porter autre part en les protégeant contre des éléments nocifs comme l'hydrolyse et la photolyse”.
En bref, la théorie de l'évolution ne peut prouver aucune des étapes évolutives qui sont supposées se produire au niveau moléculaire.
Pour récapituler ce que nous avons dit jusqu'ici, ni les acides aminés ni leurs produits, les protéines composant les cellules des êtres vivants, ne pourraient jamais être produits dans un quelconque environnement de prétendue "atmosphère primitive". De plus, certains facteurs tels que la structure incroyablement complexe des protéines, leurs caractères droitiers et gauchers, et la difficulté de former des liens peptides, sont juste certains aspects qui prouvent qu'ils ne seront jamais produits dans n'importe quelle expérience future.
Même si nous supposons pour un moment que les protéines, d'une façon ou d'autre, aient été formées accidentellement, cela n'aurait aucun sens, parce que les protéines ne sont, en soi, rien du tout : Elles ne peuvent pas se reproduire d'elles même. La synthèse de protéines est seulement possible avec l'information codée dans les molécules d'ADN et d'ARN. Sans ADN et ARN, il est impossible qu'une protéine se reproduise. L'ordre spécifique des vingt acides aminés différents encodés dans l'ADN détermine la structure de chaque protéine du corps.
Cependant, comme démontré à plusieurs reprises par tous ceux qui ont étudié ces molécules, il est impossible que l'ADN et l'ARN se soient formés par hasard.
La réalité de la création de la vie
Avec l'effondrement de la théorie de l'évolution dans tous les domaines, des célèbres microbiologistes de notre jour admettent le fait de la création.
De plus, tous ont commencé à défendre le point de vue que tout fut créé par un créateur conscient en une création sublime. C'est déjà un fait que les gens ne peuvent pas négliger.
Les scientifiques qui approchent leur travail avec l'esprit ouvert ont développé une approche appelée "conception intelligente".
Michael J. Behe, l'un des premiers de ces scientifiques, déclare qu'il accepte l'existence de l'être absolu du Créateur et décrit l'impasse dans laquelle ceux qui nient ce fait se trouvent : “Le résultat des efforts cumulatifs entrepris afin d'étudier la cellule -pour étudier la vie au niveau moléculaire- est un appel fort, clair, et perçant disant "Conception !" Le résultat est tellement évident et tellement significatif qu'il devait être classé parmi l'un des plus grands accomplissements de l'histoire de la science. Ce triomphe de la science devrait provoquer des cris de "Eureka" s'élevant de dix mille gorges. Pourtant aucune bouteille ne fut débouchée, personne ne battit des mains. Au lieu de cela, un silence curieux et embarrassé entoure la complexité rigide de la cellule. Quand le sujet est abordé en public, les gens commencent à taper du pied, et leur respiration devient un peu difficile. Les gens sont un peu plus détendus en privé ; beaucoup admettent explicitement l'évident, puis regardent par terre, secouent la tête, et continuent comme cela. Pourquoi la communauté scientifique n'embrasse-t-elle pas sa découverte étourdissante avidement ? Pourquoi le fait d'observer la conception est-il manipulé avec des gants intellectuels ? Le dilemme est que si l'on assigne le titre de "conception intelligente" à un côté de l'éléphant, l'autre côté devrait porter le titre de Dieu”.
Les causes naturelles et biologiques ne suffisent pas comme explication dans le cas d'une information programmée. Il n'est pas possible que de telles instructions informatives précises (celles de l’ADN) existent sans que quelqu'un les ait conçues intentionnellement.
Dans les premiers chapitres de ce site, nous avons fait mention du principe d'entropie qui devient de plus en plus populaire au sein du monde scientifique. Comme nous l'avons précisé par la suite, ce principe soutient que l'Univers n'est pas un simple agrégat aléatoire de matière, sans but, mais qu'au contraire, il a été soigneusement et délibérément conçu pour servir de demeure à la vie humaine.
Depuis lors, nous avons découvert beaucoup de preuves démontrant que le principe d'entropie est véridique : Des preuves allant de la vitesse de l'expansion du Big Bang aux équilibres physiques des atomes, des puissances relatives des quatre forces fondamentales à l'alchimie des étoiles, des mystères des dimensions de l'espace à la disposition du système solaire. Et partout, nous avons rencontré un ordre extraordinairement précis dans la structure de l'Univers.
Nous avons vu comment la structuration et les dimensions du monde et de l'atmosphère sont exactement ce qu'elles doivent être. Nous avons remarqué comment la lumière qui nous parvient du soleil, l'eau que nous buvons, tous les atomes qui composent nos corps et l'air que nous inhalons constamment dans nos poumons sont étonnamment adaptés pour la vie.
En bref, quoi que nous observions dans l'Univers, nous rencontrons une conception extraordinaire qui a pour but de consolider la vie humaine.
Nier la réalité de cette conception serait, tout comme le psychiatre Karl Stern le dit, transgresser la raison : « L'idée que notre Univers merveilleux pourrait avoir évolué par hasard est insensée. Je n'utilise pas du tout le mot "insensé" dans le sens d'une injure mais plutôt dans sa signification technique de psychotique. En effet, une telle vue a beaucoup en commun avec certains aspects de la pensée schizophrène ».
Les implications de cette conception sont également évidentes. La conception cachée dans chaque détail de l'Univers est très certainement preuve de l'existence d'un Créateur qui contrôle chaque détail et dont la puissance et la sagesse sont infinies. Comme la théorie du Big Bang l'a révélé, ce Créateur a créé l'Univers à partir du néant.
Evidemment, la découverte de cette vérité par la science a dérangé un certain nombre de scientifiques qui considère la science comme étant synonyme de « matérialisme » ; ceux-ci sont convaincus que la science et la religion ne pourront jamais s'entendre et que le terme « scientifique » est synonyme d'« athée ». Ils ont été conditionnés à croire que l'Univers et toute la vie peuvent être expliqués comme produits d'événements hasardeux complètement exempts d'intention ou de conception.
Quand de telles personnes se trouvent face au fait évident de la création, leur grande consternation et confusion sont naturelles.
Afin de comprendre la consternation des matérialistes, nous devons jeter un coup d'œil à la question de l'origine de la vie.
L'origine de la vie
L'origine de la vie, la question de savoir comment les premières espèces vivantes sont apparues sur Terre, est l'un des plus grands dilemmes auquel ont été confrontés les matérialistes ce dernier siècle et demi. Pourquoi cela devrait-il être ainsi ? Même une seule cellule vivante, la plus petite unité de vie, est incomparablement plus complexe que les plus grands développements technologiques de l'humanité.
Les lois de probabilité indiquent clairement que même une seule protéine ne pourrait jamais se former par hasard ; si ceci est donc vrai pour les protéines -les éléments de base les plus fondamentaux des cellules- la formation accidentelle d'une cellule complète n'est juste vraiment pas concevable. Ceci est sans aucun doute une preuve de création.
Nous avons vu dans les premiers chapitres de ce site l'impossibilité de la formation par accident des équilibres qui règnent dans l'Univers.
Nous allons démontrer maintenant comment la même chose est vraie même pour la forme de vie la plus simple.
Il existe une étude sur ce sujet à laquelle nous pouvons nous référer : c'est en fait un calcul effectué par Robert Shapiro, un professeur de chimie de l'Université de New York et expert en ADN.
Shapiro, qui est à la fois un Darwiniste et un évolutionniste, a calculé la probabilité d'une éventuelle formation par hasard de chacun des 2.000 différents types de protéines nécessaires composant même une bactérie simple (le corps humain en contient environ 200.000 types différents).
Selon Shapiro, la probabilité est de d'1 sur 10 puissance 40.000 (Ce nombre signifie "1" suivi de quarante mille zéros ; il n'a aucun équivalent dans l'Univers.)
La signification du nombre de Shapiro est claire : L' « explication » matérialiste (et Darwiniste bien sûr) qui prétend que la vie évolua par accident est totalement invalide.
Chandra Wickramasinghe, un professeur de mathématique et d'astronomie appliquées à l'Université de Cardiff, fit un commentaire concernant la découverte de Shapiro : « La probabilité de la formation spontanée de la vie à partir de la matière inanimée est d'1 suivi de 40.000 zéros... C'est assez grand pour enterrer Darwin et la théorie entière de l'évolution. Il n'y avait aucun potage primitif, ni sur cette planète ni sur d'autres, et si la genèse de la vie n'est pas aléatoire, elle doit donc être le produit d'intelligence intentionnelle ».
L'astronome Fred Hoyle fit la même remarque : « En effet, une telle théorie (que la vie ait été assemblée par intelligence supérieure) est si évidente que l'on se demande pourquoi elle n'est pas généralement reconnue en tant que telle. Les raisons en sont plutôt psychologiques que scientifiques ».
Wickramasinghe et Hoyle sont deux savants qui ont abordé la science avec une tendance matérialiste pendant la plupart de leurs carrières ; ils furent cependant confrontés à la vérité, soit que la vie a été créée. Ils ont tous les deux eu le courage de le reconnaître.
Aujourd'hui, de plus en plus de biologistes et de biochimistes ont mis de côté l'hypothèse appartenant au monde des contes de fées que la vie pouvait avoir commencé par hasard.
Ceux encore fidèles au Darwinisme -ceux qui affirment toujours que la vie est le fruit du hasard- sont en effet consternés.
Le biochimiste Michael Behe commenta cette situation : « La soudaine prise de conscience que la vie a été conçue par une intelligence est un véritable choc pour nous, Hommes du vingtième siècle, qui avons pris l'habitude de considérer la vie comme étant le résultat de lois naturelles simples ».
La science moderne a elle-même prouvé la vérité de la création. Il est maintenant temps pour le monde scientifique de faire face à cette vérité et d'en tirer une leçon.
La vie est apparue sur terre soudainement et sous forme complexe
Quand on examine les strates terrestres et l'ensemble des fossiles répertoriés, on voit que les organismes vivants sont apparus de façon simultanée. La période “Cambrienne” est la plus ancienne strate terrestre dans laquelle des fossiles de créatures vivantes furent trouvés. Son âge est estimé être de 530-520 millions d'années.
Les créatures vivantes découvertes dans les strates appartenant à cette période ont émergé tout à coup dans l'ensemble des fossiles répertoriés sans avoir d'ancêtre préexistant. La vaste mosaïque des organismes vivants, composée d'un si grand nombre de créatures complexes, est apparue si soudainement que cet événement miraculeux est reconnu sous le nom de "l'explosion cambrienne" dans la littérature scientifique.
La plupart des organismes trouvés dans cette strate possèdent des organes hautement avancés comme les yeux ou des systèmes trouvés chez des organismes ayant une organisation très avancée telle que l'ouïe, le système circulatoire etc. Il n'y a aucun signe, dans l'ensemble des fossiles répertoriés, qui indique que ces organismes ont eu des ancêtres.
Richard Monestarsky, l'éditeur du magazine Earth Sciences, énonce au sujet de l'apparition soudaine des espèces vivantes : “Les formes remarquablement complexes des animaux que nous voyons aujourd'hui sont soudainement apparues il y a un demi-milliard d'années. Ce moment, tout au début de la période cambrienne, il y a environ 550 millions d'années, marque l'explosion évolutive qui a rempli les mers des premières créatures complexes du monde. Le grand phylum animal d'aujourd'hui était déjà présent au début du Cambrien et ils étaient alors distincts l'un de l'autre, comme ils le sont aujourd'hui”.
Les évolutionnistes ne peuvent toujours pas expliquer le fait que la terre regorge de milliers d'espèces d'animaux différentes. Pour combler ce vide, ils proposent l'existence d'une période imaginaire de 20 millions d'années précédant la Période Cambrienne.
L'existence de cette période expliquerait, selon eux, les origines de la vie et la façon dont "l'inconnu s'est produit".
Cette période s'appellerait "l'intervalle évolutif". Son existence ne fût jamais prouvée et le concept demeure, aujourd'hui, commodément flou et indéfini.
En 1984, de nombreux invertébrés complexes furent déterrés à Chen Yang, situé sur le plateau central de Yunnan dans le haut pays du sud-ouest de la Chine. Parmi eux, on trouva des trilobites, qui sont maintenant éteints mais qui possèdent néanmoins une structure aussi complexe que n'importe lequel des invertébrés modernes.
Le paléontologue évolutionniste suédois, Stefan Bengston, explique la situation comme suit :
“S'il existe un seul un événement dans l'histoire de la vie qui ressemble aux mythes de la création de l'homme, c'est cette diversification soudaine de la vie marine, quand les organismes multicellulaires sont devenus les acteurs dominants de l'écologie et l'évolution. Consternant (et embarrassant) pour Darwin, cet événement nous éblouit toujours”.
L'apparition soudaine de ces êtres vivants complexes et sans prédécesseurs est tout aussi consternante (et embarrassante) pour les évolutionnistes aujourd'hui qu'elle l'était pour Darwin il y a 135 ans. Pendant plus d’un siècle et demi, ils n'ont pas avancé d'un pas au-delà du point atteint par Darwin.
Comme on peut le voir, les fossiles répertoriés démontrent que les êtres vivants n'ont pas évolué à partir de formes primitives, mais plutôt qu'ils se sont formés tout à coup et de façon parfaite.
L'absence de formes transitionnelles n'est pas particulière à la période cambrienne.
Pas une seule forme intermédiaire transitionnelle vérifiant la "progression" évolutive alléguée des vertébrés -des poissons aux amphibies, aux reptiles, aux oiseaux et aux mammifères- ne fut jamais trouvée. Chaque espèce vivante est apparue instantanément dans l'ensemble des fossiles répertoriés sous sa forme actuelle qui est parfaite et complète.
L’impasse des formes intermédiaires
Darwin avait écrit : “Si ma théorie est vraie, d’innombrables variétés intermédiaires… ont assurément dû exister”.
Cependant, les évolutionnistes, malgré leurs laborieuses recherches longues de 170 années, n’ont pas été capables d’en trouver au moins une.
La théorie de l’évolution affirme que les créatures vivantes descendent d’un ancêtre commun. Selon cette théorie, les êtres vivants se sont différenciés les uns des autres durant une très longue période par des modifications liées et graduelles.
Si cette affirmation était véridique, alors de nombreuses "espèces intermédiaires" auraient vécu dans l’histoire, reliant différentes espèces vivantes. Par exemple, si les oiseaux avaient en effet évolué des reptiles, alors des millions de créatures qui étaient mi-oiseau mi-reptile auraient vécu à travers l’histoire.
Darwin savait que les dépôts de fossiles auraient dû être pleins de ces " formes transitionnelles intermédiaires ", mais il était également conscient qu’aucun fossile de formes transitionnelles n’avait été trouvé. Voilà pourquoi il consacra un chapitre à ce problème dans son livre L’origine des espèces.
Darwin espérait que ce grand problème serait résolu dans le futur et que les formes transitionnelles seraient découvertes avec de nouvelles excavations.
Toutefois, et malgré leurs efforts continus, les évolutionnistes n’ont pas été capables de trouver une seule forme intermédiaire depuis les 170 ans passés depuis Darwin. Le célèbre évolutionniste Derek Ager avoue cette vérité : “Le détail qui ressort de cela, si nous examinons le registre fossile en détail, nous ne trouverons – encore une fois – pas d’évolution graduelle, mais l’explosion soudaine d’un groupe aux dépens de l’autre”.
La création soudaine des êtres vivants sur Terre est une preuve que Dieu les a créés.
L’évolutionniste biologiste Douglas Futuyma l’admet : “Soit les organismes apparaissent sur Terre complètement développés, soit ils ne le sont pas. Dans ce cas, ils ont dû se développer d’une espèce préexistante par quelques processus de modification. S’ils sont apparus dans un état complètement développé, ils ont dû en fait être créés par une intelligence omnipotente”.
En d'autres termes, les êtres vivants ne se sont pas le produit de l'évolution. Ils ont été créés.
La vie peut-elle être le résultat du hasard comme le prétend la théorie de l'évolution ?
La théorie de l'évolution soutient que la vie a commencé par une cellule qui s'est formée par hasard dans des conditions terrestres primitives. Examinons donc la composition de la cellule en faisant de simples comparaisons. Cela nous permettra de montrer à quel point il est irrationnel d'attribuer l'existence de la cellule (une structure qui reste, au 21ème siècle, un mystère à bien des égards) à des phénomènes naturels et au hasard.
Avec tous ses systèmes opérationnels, ses systèmes de transmission, de transport et de gestion, une cellule est aussi complexe que n'importe quelle ville.
Elle contient des centrales électriques qui produisent l'énergie consommée par la cellule, des usines qui fabriquent les enzymes et les hormones essentielles à la vie, une base de données où toutes les informations nécessaires sur tout ce qui va être produit sont enregistrées, des systèmes de transport et de canalisation complexes qui portent les matières premières et les produits d'un endroit à l'autre, des laboratoires et des raffineries avancées qui décomposent les matières premières importées afin de les rendre utilisables, et des protéines spécialisées dans la membrane des cellules qui règlent l'entrée et la sortie des matériaux. Tout ceci n'est qu'une petite partie de ce système incroyablement complexe.
Loin d'avoir été formée sous des conditions terrestres primitives, la cellule, si complexe dans sa composition et ses mécanismes, ne peut toujours pas être synthétisée dans les laboratoires les plus sophistiqués de notre jour. Il n'est toujours pas possible de produire une simple organelle cellulaire, telle que les mitochondries ou les ribosomes, même en utilisant des acides aminés, les composants de base de la cellule. Prétendre que la première cellule soit le fruit d'une coïncidence évolutive est autant un produit de l'imagination et une fantaisie que l'est l'existence de la licorne.
Les protéines anéantissent la thèse de la coïncidence
Il n'y a pas que la cellule qui ne puisse pas être produite : sous des conditions normales, la formation d'une seule protéine, parmi des milliers de molécules complexes composant une cellule, est impossible.
Les protéines sont des molécules géantes composées d'acides aminés classés dans un ordre particulier, selon certaines quantités et structures. Ces molécules constituent les éléments de base d'une cellule vivante. La plus simple est composée de 50 acides aminés ; mais il existe des protéines composées de milliers d'acides aminés. L'absence, l'addition ou le remplacement d'un simple acide aminé dans la structure d'une protéine d'une cellule vivante, transformerait la protéine en un segment moléculaire inutile. Incapables de démontrer "la formation accidentelle" des acides aminés, les évolutionnistes se trouvent bloqués par la formation de protéines.
Nous pouvons facilement démontrer, par de simples calculs de probabilité accessibles à tous, que la structure fonctionnelle des protéines ne peut nullement avoir été créée par hasard.
Il existe vingt acides aminés différents. Si nous considérons qu'une molécule de protéine moyenne se compose de 288 acides aminés, nous réalisons alors qu'il existe 10 puissance 300 différentes combinaisons possibles d'acides.
Parmi toutes ces combinaisons possibles, seule "une" peut former la molécule de protéine désirée. Les autres chaînes d'acides aminés sont soit complètement inutiles, soit potentiellement nocives pour les êtres vivants.
En d'autres termes, la probabilité de la formation par coïncidence d'une seule molécule de protéine n'est que de "1 sur 10 puissance 300". La probabilité que ce "1" se produise parmi un nombre "astronomique" se composant de 1 suivi de 300 zéros est pratiquement égale à zéro ; c'est impossible. De plus, une molécule de protéine de 288 acides aminés est relativement modeste comparée à certaines molécules de protéines géantes composées de milliers d'acides aminés.
Quand nous appliquons de semblables calculs de probabilité à ces molécules de protéines géantes, nous voyons que même le mot "impossible" devient insuffisant.
Si la formation par coïncidence de l'une de ces protéines est impossible, il est encore des milliards de fois moins probable qu'un million de ces protéines se soient formées par hasard de façon organisée et qu'elles puissent composer une cellule humaine complète. D'ailleurs, une cellule n'est pas une simple collection de protéines. Protéines mises à part, les cellules sont également composées d'acides nucléiques, d'hydrates de carbone, de lipides, de vitamines, et de beaucoup d'autres produits chimiques tels que les électrolytes, qui sont arrangés harmonieusement et en proportions spécifiques en termes de structure et fonction.
Tous fonctionnent comme module ou composant dans diverses organelles.
Comme nous l'avons vu, la théorie de l'évolution est incapable d'expliquer la formation d'une seule simple protéine parmi les millions qui existent dans une cellule. Comment pourrait-elle, dans ces conditions, expliquer la formation d'une cellule complète ?
Le Prof. Dr. Ali Demirsoy, l'un des évolutionnistes les plus importants de Turquie, dans son livre Evrim ve Kalıtım, discute de la probabilité de la formation accidentelle du Cytochrome-C, l'une des enzymes essentielles à la vie : “La probabilité de la formation d'une séquence de Cytochrome-C est, pour ainsi dire, de zéro. C'est-à-dire, que si la vie exige une certaine séquence, la probabilité que la vie apparaisse n'est que d'une fois dans l'Univers entier. Sinon, cela signifierait que certaines puissances métaphysiques au-delà de notre compréhension ont agi dans sa formation. Accepter ce dernier point serait aller à l'encontre de la science. Nous devons donc nous en tenir à la première hypothèse”.
En écrivant ces mots, Demirsoy admet l'invraisemblance de cette probabilité qu'il n'accepte que parce qu'elle est "plus appropriée aux buts de la science" : “Il est aussi peu probable de former la séquence particulière d'acides aminés du Cytochrome-C que de faire écrire l'histoire de l'humanité à un singe sur une machine à écrire, en supposant que le singe tape sur le clavier de manière aléatoire”.
Une séquence correcte d'acides aminés appropriés n'est pourtant pas suffisante pour permettre la formation d'une seule des molécules de protéine présentes dans les êtres vivants.
En outre, chacun des vingt différents types d'acides aminés qui composent les protéines doit être "gaucher". Chimiquement, il y a deux différents types d'acides aminés, ceux qui sont "gauchers" et ceux qui sont "droitiers". La "symétrie de miroir" entre leurs structures tridimensionnelles est différente, comme l'est la symétrie entre la main droite et la main gauche d'une personne. Ces deux types d'acides aminés se trouvent en nombres égaux dans la nature et peuvent parfaitement s'unir. Cependant, la recherche dévoile un fait étonnant :
Toutes les protéines présentes dans la structure des choses vivantes sont composées d'acides aminés gauchers. Donc, si on attachait un acide aminé droitier à la structure d'une protéine, elle deviendrait inutile.
Supposons, l'espace d'un instant, que la vie soit le fruit du hasard, comme le prônent les évolutionnistes. Dans ce cas, les acides aminés droitiers et gauchers devraient être présents partout dans la nature en quantités presque égales. Les évolutionnistes ne parviennent pas à expliquer que les protéines puissent sélectionner uniquement les acides aminés gauchers et n'arrivent pas non plus à expliquer qu'il n'y ait aucun acide aminé droitier impliqué dans le processus de la vie.
Dans Britannica Science Encyclopaedia, un ouvrage qui défend ardemment la théorie de l'évolution, les auteurs indiquent que cette asymétrie gauchère se trouve dans les acides aminés de toute la matière organique terrestre et dans les composants de base de polymères complexes tels que des protéines. Ils ajoutent que cela équivaut à jeter une pièce de monnaie en l'air des millions de fois et à toujours obtenir la même face.
Dans la même encyclopédie, ils déclarent qu'il n'est pas possible de comprendre pourquoi les molécules deviennent gauchères ou droitières, et que ce choix est lié à la source de la vie sur Terre d'une manière fascinante.
Il ne suffit pas que les acides aminés soient arrangés en nombres, en séquences et en structures tridimensionnelles appropriés. La formation d'une protéine exige également que les molécules d'acides aminés ayant plus d'une terminaison soient seulement reliées par certaines de ces terminaisons. Un tel lien s'appelle un "lien de peptide". Les acides aminés peuvent être reliés de manières différentes, pourtant, les protéines ne comportent que des acides aminés qui se joignent par un lien "peptide".
Les recherches ont prouvé que seulement 50% des acides aminés, lorsqu'ils sont combinés au hasard, se lient avec un lien peptide. De plus, il est prouvé qu'ils se lient alors avec des liens qui ne sont pas présents dans les protéines. Pour fonctionner correctement, chaque acide aminé d'une protéine doit se joindre à d'autres acides aminés avec un lien peptide, de même qu'il doit être gaucher. Incontestablement, il n'y a aucun mécanisme de commande qui choisisse ou rejette les acides aminés droitiers ou qui s'assure personnellement que chaque acide aminé soit lié par un lien peptide.
Dans ces circonstances, la probabilité que les cinq cents acides aminés d'une molécule de protéine moyenne s'organisent en quantité adéquate et dans la bonne séquence, et que tous les acides aminés soient gauchers et ne se lient que par des liens peptides est comme suit :
Comme vous pouvez le voir ci-dessus, la probabilité de la formation d'une molécule de protéine comportant cinq cents acides aminés est de "1" divisé par un nombre constitué en plaçant 950 zéros après un 1, un nombre incompréhensible à l'esprit humain. Ceci n'est qu'une probabilité théorique.
Pratiquement, une telle possibilité a "0" chance de se réaliser.
En mathématique, une probabilité plus petite que 1 divisé par 10 puissance 50 est statistiquement considérée comme ayant "0" probabilité de réalisation.
L'improbabilité de la formation d'une molécule de protéine composée de cinq cents acides aminés atteignant une telle ampleur, nous pouvons pousser les limites de l'esprit à des niveaux d'improbabilité encore plus élevés.
Par exemple, il y a cinq cent soixante-quatorze acides aminés dans la molécule d'"hémoglobine", une protéine essentielle à la vie. Ce nombre est beaucoup plus grand que celui des acides aminés composant la protéine mentionnée ci-dessus.
Considérez maintenant ceci : Dans un seul des milliards de globules rouges de votre corps, il y a "280.000.000" (280 millions) de molécules d'hémoglobine. L'âge supposé de la Terre n'est pas suffisant pour permettre d'imaginer la formation d'une simple protéine, et l'est encore moins pour un globule rouge. La conclusion de tout ceci est que l'évolution tombe déjà dans un terrible gouffre d'improbabilité à l'étape de la formation d'une simple protéine.
Chercher des réponses à la génération de la vie
Conscients que la thèse du hasard était “extrêmement” faible, les évolutionnistes ne pouvaient pas fournir d'explication raisonnable qui puisse justifier leur croyance.
Ainsi, ils ont commencé à chercher à démontrer que les probabilités n'étaient pas si défavorables. Ils ont conçu un certain nombre d'expériences de laboratoire pour résoudre la question suivante : Comment la vie pourrait-elle être générée à partir de matière inanimée ?
La plus célèbre et respectée de ces expériences est connue sous le nom de "l'expérience de Miller" ou "l'expérience d'Urey-Miller", car elle a été entreprise par le chercheur américain Stanley Miller en 1953. Miller a prétendu avoir recréé, dans son laboratoire, l'atmosphère terrestre primitive (qui plus tard a été reconnue comme étant irréaliste) et s'est mis à travailler.
Son but était de prouver que les acides aminés pourraient être apparus par accident. Le mélange qu'il a utilisé pour former cette atmosphère primitive était composé d'ammoniaque, de méthane, d'hydrogène, et de vapeur d'eau.
Miller savait que le méthane, l'ammoniaque, la vapeur d'eau et l'hydrogène ne réagiraient pas l'un avec l'autre sous des conditions normales. Il savait qu'il devait injecter de l'énergie dans ce mélange pour qu'il y ait une réaction. Il a proposé que cette énergie avait été fournie, dans l'atmosphère primitive, par des coups de foudre. En se basant sur cette supposition, il a utilisé une décharge d'électricité artificielle pendant ses expériences.
Miller a fait bouillir ce mélange de gaz à 100°C pendant une semaine et y a aussi installé un courant électrique. A la fin de la semaine, Miller a analysé les produits qui s'étaient formés et a observé que trois des vingt acides aminés qui constituent les éléments de base des protéines avaient été synthétisés. Cet essai a engendré une grande excitation chez les évolutionnistes et ils l'ont présenté comme étant un succès extraordinaire. Encouragés par la pensée que cet essai avait définitivement vérifié leur théorie, les évolutionnistes ont immédiatement produit de nouveaux scénarios. Miller avait prétendument prouvé que les acides aminés pouvaient se former par eux-mêmes. Sur cette base, ils ont tout de suite inventé des hypothèses concernant les étapes suivantes. D'après leur scénario, les acides aminés se seraient plus tard unis par accident dans les séquences appropriées pour former les protéines. Certaines de ces protéines formées par hasard se seraient placées dans des structures similaires à celles de la membrane d'une cellule. Ces structures, auraient émergé "d'une façon ou d'une autre" et auraient ensuite formé une cellule primitive. Les cellules se seraient ensuite unies avec le temps et auraient formé la matière organique. La base principale de ce scénario était l'expérience de Miller.
Cependant, l'expérience de Miller n'était rien d'autre qu'une fraude et son invalidité a déjà été prouvée à bien des égards.
L'invalidité de l'expérience de Miller
Presque un demi-siècle s'est écoulé depuis que Miller a entrepris son expérience. Bien qu'elle se soit avérée incorrecte à bien des égards, les évolutionnistes soutiennent encore Miller. Ils considèrent ses résultats comme étant une preuve absolue montrant que la vie pourrait avoir été formée spontanément à partir de matière inanimée. Cependant, si nous évaluons l'expérience de Miller de façon critique, sans la polarisation et la subjectivité de la pensée évolutionniste, il est évident que la situation n'est pas aussi attrayante que le disent les évolutionnistes.
Miller a tenté de prouver que les acides aminés auraient pu se former par eux-mêmes sous les conditions terrestres primitives. Il est parvenu à produire quelques acides aminés, pourtant, la conduite de l'expérience contredit son propre but de plusieurs façons, comme nous le verrons maintenant.
Miller a isolé les acides aminés de leur environnement dès qu'ils ont été formés en utilisant un mécanisme appelé "un piège froid". S'il n'avait pas agi ainsi, les conditions de l'environnement dans lequel les acides aminés se sont formés auraient immédiatement détruit les molécules.
Il est tout à fait insignifiant de supposer qu'un mécanisme conscient de cette sorte se soit trouvé dans les conditions terrestres primitives qui comportaient des rayonnements ultraviolets, des coups de foudre, divers produits chimiques, et un pourcentage élevé d'oxygène libre.
Sans un tel mécanisme, n'importe quel acide aminé qui se serait formé aurait immédiatement été détruit.
L'environnement atmosphérique primitif que Miller a essayé de simuler dans son expérience n'était pas réaliste. L'azote et l'anhydride carbonique auraient été des constituants de l'atmosphère primitive, mais Miller les a négligés et a utilisé du méthane et de l'ammoniaque à leur place.
Pourquoi ? Pourquoi les évolutionnistes insistent-ils sur le point que l'atmosphère primitive ait contenu des montants élevés de méthane (CH4), d'ammoniaque (NH3), et de vapeur d'eau (H2O) ? La réponse est simple : Sans ammoniaque, il est impossible de synthétiser un acide aminé.
Kevin McKean parle de ceci dans un article édité dans le magazine Discover : “Miller et Urey ont imité l'atmosphère antique de la terre avec un mélange de méthane et d'ammoniaque. Selon eux, la Terre était un mélange homogène de métal, de roche et de glace. Toutefois dans les dernières études, on comprend que la Terre était très chaude à cette époque et qu'elle était composée de nickel et de fer fondus. Par conséquent, l'atmosphère chimique de cette période devait surtout être constituée d'azote (N2), d'anhydride carbonique (CO2) et de vapeur d'eau (H2O). Toutefois ces derniers ne sont pas aussi appropriés que le méthane et l'ammoniaque pour la formation de molécules organiques”.
Après une longue période de silence, Miller lui-même a également admis que l'environnement atmosphérique qu'il avait utilisé dans son expérience n'était pas réaliste.
Un autre point important infirmant l'expérience de Miller est qu'il y avait, pendant la période où les évolutionnistes situent la formation des acides aminés, assez d'oxygène pour détruire tous les acides aminés de l'atmosphère.
Cette concentration d'oxygène aurait certainement gêné la formation des acides aminés. Cette situation contredit complètement l'expérience de Miller dans lequel il a totalement négligé l'oxygène. S'il avait utilisé de l'oxygène dans son expérience, le méthane se serait décomposé en anhydride carbonique et en eau, et l'ammoniaque se serait décomposée en azote et eau.
D'autre part, puisqu'il n'y avait pas encore de couche d'ozone, aucune molécule organique n'aurait pu survivre sur Terre parce qu'elle aurait été entièrement exposée à des rayons ultraviolets intenses.
De plus, mis à part quelques acides aminés essentiels à la vie, l'expérience de Miller a également produit beaucoup d'acides organiques nuisibles aux structures et aux fonctions des êtres vivantes. S'il n'avait pas isolé les acides aminés et les avait laissés dans le même environnement avec ces produits chimiques, leur destruction ou leur transformation chimique en d'autres composés aurait été inévitable. D'ailleurs, un grand nombre d'acides aminés droitiers a également été formé pendant cette expérience.
L'existence de ces acides aminés réfute la théorie dans son propre raisonnement, parce que les acides aminés droitiers ne peuvent pas fonctionner dans la composition de la matière organique. Ils rendent les protéines inutiles quand ils sont impliqués dans leur composition.
Pour conclure, les circonstances dans lesquelles les acides aminés ont été formés dans l'expérience de Miller n'étaient pas appropriées pour l'émergence de la vie. Les conditions dans lesquelles ils ont été formés étaient un mélange acide qui aurait détruit et oxydé toutes les molécules utiles obtenues.
En présentant cette expérience en tant que "preuve", les évolutionnistes eux-mêmes réfutent en réalité la théorie de l'évolution, comme ils le font souvent. Si cette expérience prouve quoique ce soit, c'est que les acides aminés peuvent seulement être produits sous contrôle, dans un environnement de laboratoire où toutes les conditions nécessaires ont été spécifiquement et consciemment conçues. C'est-à-dire que l'expérience prouve que ce qui permet à la vie d'exister (même à la "proto-vie" des acides aminés) ne peut pas être le résultat de la chance inconsciente, mais plutôt une volonté consciente - en un seul mot, la création.
C'est pourquoi chaque étape de la création est un signe qui nous prouve l'existence et le pouvoir d’un Créateur.
La Molécule Miraculeuse : L'ADN
La théorie de l'évolution n'a pas pu fournir d'explication logique pour l'existence des molécules qui sont à la base de la cellule. En outre, les développements de la science de la génétique et de la découverte des acides nucléiques (ADN et ARN) ont créé de nouveaux problèmes pour la théorie de l'évolution.
En 1955, les recherches sur l'ADN entreprises par deux scientifiques, James Watson et Francis Crick, ont ouvert une nouvelle ère dans la biologie.
Beaucoup de scientifiques ont dirigé leur attention sur la génétique. Aujourd'hui, après des années de recherche, les scientifiques ont, en grande partie, tracé la structure de l'ADN. Nous devons, ici, fournir un peu plus d'information élémentaire sur la structure et la fonction de l'ADN :
La molécule appelée ADN, qui existe dans le noyau de chacune des 100 trillions de cellules de notre corps, contient le plan de construction complet du corps humain. L'information concernant toutes les caractéristiques d'une personne, de son aspect physique à la structure de ses organes intérieurs, est enregistrée dans l'ADN au moyen d'un système de codage spécial.
L'information de l'ADN est codée dans la séquence des quatre bases spéciales qui composent cette molécule. Ces bases, sont nommées A, T, G, et C selon les initiales de leurs noms.
Toutes les différences structurelles entre les gens dépendent des variations dans l'ordre de ces bases. Il y a approximativement 3.5 milliards de nucléotides, c'est-à-dire 3.5 milliards de lettres dans une molécule d'ADN.
Les données d'ADN concernant un organe ou une protéine particulière sont inclues dans certains composants spéciaux appelés les "gènes". Par exemple, les informations concernant l'œil se trouvent dans une série de gènes spéciaux, tandis que les informations concernant le cœur se trouvent dans une série de gènes tout à fait différente. La cellule produit des protéines en utilisant l'information qui se trouve dans tous ces gènes. Les acides aminés qui constituent une protéine sont définis par l'organisation séquentielle de trois nucléotides dans l'ADN.
Un détail important mérite notre attention. Une erreur dans l'ordre des nucléotides composant un gène rend le gène complètement inutile. Quand nous considérons qu'il y a 200 mille gènes dans le corps humain, il devient plus clair qu'il est impossible que les millions de nucléotides composant ces gènes aient été accidentellement formés dans le bon ordre. Un biologiste évolutionniste, Frank Salisbury, présente ainsi ses observations sur cette impossibilité :
Une protéine moyenne pourrait contenir environ 300 acides aminés. Le gène d'ADN contrôlant ceci aurait une chaîne d'environ 1.000 nucléotides. Puisqu'il y a quatre genres de nucléotides dans une chaîne d'ADN, une chaîne ayant 1.000 liens pourrait exister sous 4 puissance 1000 formes différentes. En utilisant un peu d'algèbre (logarithmes), nous pouvons voir que 4 puissance 1000=10 puissance 600. Dix multiplié par soi-même 600 fois équivaut à 1 suivi de 600 zéros ! Ce nombre est complètement au-delà de notre compréhension.
Prof. Ali Demirsoy, un évolutionniste, fut obligé d'admettre, à ce sujet : “En fait, la probabilité de la formation aléatoire d'une protéine et d'un acide nucléique (DNA-RNA) est inconcevablement petite. Les chances contre l'apparition d'une seule chaîne particulière de protéine sont astronomiques”.
En plus de toutes ces improbabilités, l'ADN peut à peine être impliqué dans une réaction en raison de sa forme spirale en double chaîne.
Il devient alors impossible de penser que ceci puisse être la base de la vie.
D'ailleurs, alors que l'ADN ne peut se reproduire qu'avec l'aide de quelques enzymes qui sont en réalité des protéines, la synthèse de ces enzymes peut seulement être réalisée par l'information codée dans l'ADN.
Etant donné qu'elles toutes les deux dépendent de l'une de l'autre, soit elles ont du exister en même temps pour la reproduction, soit l'une d'elles a dû "être créée" avant l'autre. Le microbiologiste américain Jacobson présente ses observations sur le sujet : “Toutes les instructions concernant la reproduction de plans, pour l'énergie, et l'extraction de certaines parties de l'environnement actuel, pour l'ordre de croissance, et le mécanisme effecteur qui transforme les instructions en croissance - tout devait être simultanément présent à ce moment (quand la vie a commencé). Cette combinaison d'événements semble être une coïncidence incroyablement improbable, et a été souvent attribuée à l'intervention divine”.
La citation ci-dessus a été écrite par James Watson et Francis Crick, deux ans après la révélation de la structure de l'ADN. En dépit de tous les développements scientifiques, ce problème demeure non résolu pour les évolutionnistes.
Pour résumer, le besoin d'ADN pour la reproduction, la nécessité de la présence de certaines protéines pour la reproduction, et l'exigence que ces protéines soient produites selon l'information qui se trouve dans l'ADN, démolissent entièrement les thèses évolutionnistes.
Deux scientifiques allemands, Junker et Scherer, ont expliqué que la synthèse de chacune des molécules exigées pour l'évolution chimique, nécessite des conditions distinctes, et que la probabilité de composer ces matériaux, qui ont en théorie des méthodes d'acquisition très différentes, est de zéro : “Jusqu'ici, on ne connaît aucune expérience qui permette d'obtenir toutes les molécules nécessaires pour l'évolution chimique. Par conséquent, il est essentiel de produire diverses molécules dans des endroits différents et dans des conditions très appropriées. Ensuite, il faut, pour la réaction, les porter autre part en les protégeant contre des éléments nocifs comme l'hydrolyse et la photolyse”.
En bref, la théorie de l'évolution ne peut prouver aucune des étapes évolutives qui sont supposées se produire au niveau moléculaire.
Pour récapituler ce que nous avons dit jusqu'ici, ni les acides aminés ni leurs produits, les protéines composant les cellules des êtres vivants, ne pourraient jamais être produits dans un quelconque environnement de prétendue "atmosphère primitive". De plus, certains facteurs tels que la structure incroyablement complexe des protéines, leurs caractères droitiers et gauchers, et la difficulté de former des liens peptides, sont juste certains aspects qui prouvent qu'ils ne seront jamais produits dans n'importe quelle expérience future.
Même si nous supposons pour un moment que les protéines, d'une façon ou d'autre, aient été formées accidentellement, cela n'aurait aucun sens, parce que les protéines ne sont, en soi, rien du tout : Elles ne peuvent pas se reproduire d'elles même. La synthèse de protéines est seulement possible avec l'information codée dans les molécules d'ADN et d'ARN. Sans ADN et ARN, il est impossible qu'une protéine se reproduise. L'ordre spécifique des vingt acides aminés différents encodés dans l'ADN détermine la structure de chaque protéine du corps.
Cependant, comme démontré à plusieurs reprises par tous ceux qui ont étudié ces molécules, il est impossible que l'ADN et l'ARN se soient formés par hasard.
La réalité de la création de la vie
Avec l'effondrement de la théorie de l'évolution dans tous les domaines, des célèbres microbiologistes de notre jour admettent le fait de la création.
De plus, tous ont commencé à défendre le point de vue que tout fut créé par un créateur conscient en une création sublime. C'est déjà un fait que les gens ne peuvent pas négliger.
Les scientifiques qui approchent leur travail avec l'esprit ouvert ont développé une approche appelée "conception intelligente".
Michael J. Behe, l'un des premiers de ces scientifiques, déclare qu'il accepte l'existence de l'être absolu du Créateur et décrit l'impasse dans laquelle ceux qui nient ce fait se trouvent : “Le résultat des efforts cumulatifs entrepris afin d'étudier la cellule -pour étudier la vie au niveau moléculaire- est un appel fort, clair, et perçant disant "Conception !" Le résultat est tellement évident et tellement significatif qu'il devait être classé parmi l'un des plus grands accomplissements de l'histoire de la science. Ce triomphe de la science devrait provoquer des cris de "Eureka" s'élevant de dix mille gorges. Pourtant aucune bouteille ne fut débouchée, personne ne battit des mains. Au lieu de cela, un silence curieux et embarrassé entoure la complexité rigide de la cellule. Quand le sujet est abordé en public, les gens commencent à taper du pied, et leur respiration devient un peu difficile. Les gens sont un peu plus détendus en privé ; beaucoup admettent explicitement l'évident, puis regardent par terre, secouent la tête, et continuent comme cela. Pourquoi la communauté scientifique n'embrasse-t-elle pas sa découverte étourdissante avidement ? Pourquoi le fait d'observer la conception est-il manipulé avec des gants intellectuels ? Le dilemme est que si l'on assigne le titre de "conception intelligente" à un côté de l'éléphant, l'autre côté devrait porter le titre de Dieu”.
Les causes naturelles et biologiques ne suffisent pas comme explication dans le cas d'une information programmée. Il n'est pas possible que de telles instructions informatives précises (celles de l’ADN) existent sans que quelqu'un les ait conçues intentionnellement.