Vivre avec ou sans Dieu : cela revient-il au même ?
On entend parfois cette question :
« De toutes façons, vivre avec ou sans Dieu, qu’est-ce que vous voulez que ça change pour moi ? »
Parfois ce sont des affirmations qui sont proclamées :
« Je n’ai pas besoin de Dieu, je vis très bien sans Lui, ça ne m’empêche pas d’être quelqu’un de bien »
« Je vis sans Dieu, et c’est normal puisqu’Il n’existe pas ! »
« Je n’ai pas besoin de Dieu, et ça serait pas mal qu’Il m’oublie Lui aussi ! »
En général, quand cette question est posée ou quand ces affirmations sont proclamées, il s’agit de la vie terrestre (« ici-bas » pour les croyants !).
La notion de l’au-delà ne va pas émouvoir (est-ce si sûr ?) ceux qui disent ne pas y croire, donc nous allons en dire deux mots sans prendre trop de pincettes :
. Si l’au-delà existe, pour les athées ce sera l’enfer éternel aux souffrances inimaginables et continues (c’est un peu taquin de l’exprimer ainsi face à un athée, mais encore une fois, l’athée convaincu ne devrait pas en souffrir parce qu’il est certain que tout cela n’existe pas, et que tout cela n’est que pure invention humaine).
. Si un petit doute persiste dans l’esprit d’un athée au sujet de l’existence de Dieu (et donc de l’au-delà), il ne pourra pas vivre ici-bas totalement tranquillement, encore moins en approchant l’âge où la mort est considérée comme plus proche (et donc où ce doute sera définitivement levé).
Pour le reste de l’article, nous allons nous concentrer sur les effets de « vivre avec ou sans Dieu » sur la vie terrestre (la vie ici-bas des croyants, la vie tout court pour les athées).
Nous allons examiner les différences entre les deux postures « avec » ou « sans » Dieu :
. Au niveau global (d’une société, du monde)
. Au niveau individuel
(Sachant que le niveau global influe sur le niveau individuel, et inversement).
Au niveau global
Imaginons un monde vivant avec les valeurs basées sur la foi en l’existence de Dieu.
Nous allons imaginer un monde où ce sont les valeurs de l’Islam qui sont adoptées, et ce choix n’est pas le fruit du hasard, mais un choix qui tient compte de nos convictions :
. En tant que musulmans, nous croyons que la religion de Dieu est la même depuis le début de l’humanité : Une seule religion monothéiste portée par Noé, Abraham, Moïse, Jésus et Muhammad
. Le Coran est la seule écriture sainte préservée de toute altération (cf. https://alterationsdesecritures.weebly.com/)
Et à l’autre extrémité du spectre, nous allons imaginer un monde où ces valeurs sont absentes.
Notre monde se situe évidemment entre ces deux extrémités (Le curseur plus proche de l’une ou de l’autre selon les époques, les individus, les lieux..).
La religion basée sur la foi en Dieu l’Unique fournit un cadre de référence (*) qui ressemble à ceci :
. Un référentiel et des principes permettant de distinguer le bien du mal (et non variant au gré des intérêts particuliers, catégoriels, de pouvoir, de géopolitique, etc.)
. Un équilibre moral facilité par un système de valeurs cohérent
. La vraie nature éphémère de ce monde révélée et rappelée
. L’au-delà considéré comme étant la « vraie » demeure de l’Homme
. L’Homme plaçant sa confiance en Dieu
. Disparition des craintes liées au monde terrestre et à l’incertitude liée au futur
. Promotion de la paix et la sécurité qui abolissent la violence et le crime
. Des principes d’attribution des responsabilités aux gens informés et expérimentés (au mérite)
. Une purification contre les tentations de l’infidélité et de la déloyauté
. Disparition de l’égoïsme et de toute injustice entre les Hommes
. Instauration de l’honnêteté et de l’équité dans toutes les transactions entre les Hommes
. Application réelle des principes de liberté, d’égalité et de fraternité
. Appel à limiter l’ambition matérielle excessive
. Enseignement de la modestie et de la piété
. Etablissement d’un esprit positif et constructif où chacun apporte des solutions
. Les liens familiaux, amicaux et de voisinage renforcés
. Les liens sociaux fondés sur l’amour et le respect
. L’alcoolisme et les fléaux des jeux d’argent et de la drogue sont abolis (et leurs conséquences éliminées)
. La tolérance et le respect des différences installés au sommet des principes qui régissent les relations entre les humains
. Respect de l’ordre que Dieu a créé dans la nature (et préservation des équilibres)
. Absence de toute forme d’atteinte à la dignité des femmes (prostitution, harcèlement, discrimination, inégalité de traitement, viol, pornographie, etc.)
. Le sens de la vie clairement défini : vivre avec Dieu dans une relation de confiance, d’amour et de gratitude. Cela englobe naturellement le fait de se conformer à Ses directives (ce qu’Il rend licite, obligatoire, interdit…).
Imaginons un instant l’état de notre monde si ces valeurs étaient appliquées à 100 % (ce qui est impossible à atteindre, mais c’est un simple exercice mental pour établir la comparaison avec notre monde actuel).
A minima, toute personne sensée admettra que avec ou sans ce cadre de référence : ce n’est pas pareil du tout !
Il est évident par ailleurs, et sans l’ombre d’un doute, que la situation du monde serait meilleure (avec ce cadre de référence) que celle que nous vivons !
(*) Pour connaître les fondements de ce cadre de référence dans le Coran, nous vous invitons à consulter :
. le site https://choisir-sa-religion.weebly.com/ qui présente ce qu’est l’Islam en réalité –et donc différemment de ce qu’en disent ceux qui le connaissent mal et ceux qui mentent délibérément car ils ne l’aiment pas)
. et le site http://discernement-islam.weebly.com/ consacré aux questions et aux thèmes qui suscitent des polémiques en rapport avec l’Islam, notamment en France (pour rétablir les vérités sur quelques thèmes qui souffrent de désinformation dans nos médias)
Au niveau individuel
Vivre avec ou sans Dieu : Ce choix produit une immense différence dans la manière de concevoir et de percevoir sa vie.
Naturellement, la différence principale se situe au niveau du sens de la vie et des réponses apportées aux questions existentielles de l’Homme.
Pour ne pas alourdir le propos ici, nous vous proposons de lire à ce sujet notre article https://choisir-sa-religion.weebly.com/sens.html qui explique le sens de la vie et la mission fondamentale de ceux qui croient en l’existence de Dieu.
Il vous paraîtra alors évident que ceux qui ne croient pas en l’existence de Dieu, conçoivent et perçoivent leur vie différemment. Ce n’est donc pas pareil du tout et cela ne revient pas du tout au même !
Connaître et accepter sa mission fondamentale dans la vie et savoir sur quels critères nos actions seront évaluées, tout cela diminue l’incertitude et l’inconnu qui génèrent tant de stress.
Une autre différence très importante (entre vivre « avec » ou « sans » Dieu) se situe dans la manière particulière des croyants de faire face aux épreuves difficiles qui jalonnent la vie.
Cette manière des croyants de vivre les événements difficiles favorise le recul, la sagesse, la remise en question et diminue fondamentalement le stress et l’anxiété.
Une autre différence (entre vivre « avec » ou « sans » Dieu) se situe au niveau de la confiance que les croyants placent en Dieu : cela les amène à être structurellement moins stressés.
Un croyant qui connaît et adhère aux valeurs de bonté et de bienveillance envers les autres (autres humains et autres être vivants) vivra avec un état d’esprit apaisé (et donc moins stressé et anxieux).
Un croyant qui vit une injustice (du genre que la justice des Hommes ne peut totalement réparer) tout en ayant la foi dans une justice divine qui fera le nécessaire pour rétablir la justice et réparer complètement les préjudices (et récompenser de la patience par-dessus le marché), vivra plus sereinement que celui qui n’admet pas cette perspective de justice divine réparatrice.
Un croyant convaincu que toute épreuve difficile comporte un bien pour lui, traversera cette épreuve de manière plus sereine malgré la douleur ressentie.
Un croyant vivant en pleine conscience des bienfaits que Dieu lui donne et de la beauté de toute chose créée par Dieu vivra dans une perception émerveillée, heureuse (et pleine de gratitude) de la vie ici-bas. Encore moins de stress et d’anxiété.
Pourquoi répéter tant : moins de stress et d’anxiété ?
D’abord parce que c’est vrai (comme nous venons de l’expliciter).
Ensuite, parce que ce fameux stress a de fâcheuses répercussions physiologiques !
Vivre avec ou sans Dieu n’est donc pas neutre pour la santé psychique ET physique !
Le stress, est un fléau terriblement répandu. C’est un état de tension qui affecte d’abord l’esprit puis le corps.
Il est causé par des sentiments de crainte, d’insécurité, de désespoir, d’anxiété et de peurs telles que celle de perdre son emploi, ou par des soucis de santé, ou encore par des événements tristes, comme la perte d’un membre de sa famille.
Le corps répond à cette situation de stress par des réactions biochimiques.
Le taux d’adrénaline dans le sang augmente, accompagné par un pic du niveau de la consommation du cholestérol et les acides gras circulent dans le sang, la pression sanguine s’accroît et le rythme cardiaque s’emballe.
Un état de stress chronique provoque des dégâts graves dans le corps, surtout au niveau physiologique. Du fait du stress, les taux de cortisol et d’adrénaline augmentent de façon dramatique. Le glucose arrivant au cerveau entraîne une augmentation du taux de cholestérol, ce qui est dangereux pour l’organisme. Le stress chronique favorise les maladies cardiaques, l’hypertension, les ulcères, la dépression, les maladies liées au système respiratoire, l’eczéma, le psoriasis et beaucoup d’autres désordres psychosomatiques.
Il y a une étroite relation entre le stress et le système immunitaire.
Le stress psychologique a un impact très négatif sur le système immunitaire. Il le détruit, le ravage. Sous l’effet du stress le cerveau augmente la production de cholestérol dans le corps et affaiblit le système immunitaire. En d’autres termes, le cerveau, le système immunitaire, et les hormones sont en étroite relation.
Les études menées sur le stress psychologique et physique révèlent qu’après un stress de longue durée, la résistance du système immunitaire diminue en rapport avec l’équilibre hormonal de l’organisme. Il est aujourd’hui bien établi que de nombreuses maladies dont le cancer, apparaissent et s’aggravent sous l’effet du stress.
C’est pourquoi un esprit paisible, une disposition d’esprit marquée par la sérénité restaurent l’équilibre du corps. Cela entrave l’émergence de facteurs contribuant aux maladies.
On constate que les gens joyeux et sereins, ceux qui prennent la vie de façon positive et voient un bien dans tout ce qui leur arrive, et qui ne sont pas en proie au pessimisme, restent vigoureux longtemps, leur vieillissement est beaucoup moins rapide que chez d’autres.
Pourquoi les magazines de santé insistent-ils sur le fait que leurs lecteurs devraient être positifs dans la vie ? Parce que c’est le gage d’une existence heureuse ! Ce qu’ils recommandent en général, c’est de rester calme et optimiste dans toutes les situations.
Mais si on examine ces propos avec soin, on voit que ceux qui vivent « avec » ou « sans » Dieu ne sont pas équipés de la même manière pour atteindre cet idéal.
Vivre avec ou sans Dieu : ce n’est définitivement pas pareil !
On entend parfois cette question :
« De toutes façons, vivre avec ou sans Dieu, qu’est-ce que vous voulez que ça change pour moi ? »
Parfois ce sont des affirmations qui sont proclamées :
« Je n’ai pas besoin de Dieu, je vis très bien sans Lui, ça ne m’empêche pas d’être quelqu’un de bien »
« Je vis sans Dieu, et c’est normal puisqu’Il n’existe pas ! »
« Je n’ai pas besoin de Dieu, et ça serait pas mal qu’Il m’oublie Lui aussi ! »
En général, quand cette question est posée ou quand ces affirmations sont proclamées, il s’agit de la vie terrestre (« ici-bas » pour les croyants !).
La notion de l’au-delà ne va pas émouvoir (est-ce si sûr ?) ceux qui disent ne pas y croire, donc nous allons en dire deux mots sans prendre trop de pincettes :
. Si l’au-delà existe, pour les athées ce sera l’enfer éternel aux souffrances inimaginables et continues (c’est un peu taquin de l’exprimer ainsi face à un athée, mais encore une fois, l’athée convaincu ne devrait pas en souffrir parce qu’il est certain que tout cela n’existe pas, et que tout cela n’est que pure invention humaine).
. Si un petit doute persiste dans l’esprit d’un athée au sujet de l’existence de Dieu (et donc de l’au-delà), il ne pourra pas vivre ici-bas totalement tranquillement, encore moins en approchant l’âge où la mort est considérée comme plus proche (et donc où ce doute sera définitivement levé).
Pour le reste de l’article, nous allons nous concentrer sur les effets de « vivre avec ou sans Dieu » sur la vie terrestre (la vie ici-bas des croyants, la vie tout court pour les athées).
Nous allons examiner les différences entre les deux postures « avec » ou « sans » Dieu :
. Au niveau global (d’une société, du monde)
. Au niveau individuel
(Sachant que le niveau global influe sur le niveau individuel, et inversement).
Au niveau global
Imaginons un monde vivant avec les valeurs basées sur la foi en l’existence de Dieu.
Nous allons imaginer un monde où ce sont les valeurs de l’Islam qui sont adoptées, et ce choix n’est pas le fruit du hasard, mais un choix qui tient compte de nos convictions :
. En tant que musulmans, nous croyons que la religion de Dieu est la même depuis le début de l’humanité : Une seule religion monothéiste portée par Noé, Abraham, Moïse, Jésus et Muhammad
. Le Coran est la seule écriture sainte préservée de toute altération (cf. https://alterationsdesecritures.weebly.com/)
Et à l’autre extrémité du spectre, nous allons imaginer un monde où ces valeurs sont absentes.
Notre monde se situe évidemment entre ces deux extrémités (Le curseur plus proche de l’une ou de l’autre selon les époques, les individus, les lieux..).
La religion basée sur la foi en Dieu l’Unique fournit un cadre de référence (*) qui ressemble à ceci :
. Un référentiel et des principes permettant de distinguer le bien du mal (et non variant au gré des intérêts particuliers, catégoriels, de pouvoir, de géopolitique, etc.)
. Un équilibre moral facilité par un système de valeurs cohérent
. La vraie nature éphémère de ce monde révélée et rappelée
. L’au-delà considéré comme étant la « vraie » demeure de l’Homme
. L’Homme plaçant sa confiance en Dieu
. Disparition des craintes liées au monde terrestre et à l’incertitude liée au futur
. Promotion de la paix et la sécurité qui abolissent la violence et le crime
. Des principes d’attribution des responsabilités aux gens informés et expérimentés (au mérite)
. Une purification contre les tentations de l’infidélité et de la déloyauté
. Disparition de l’égoïsme et de toute injustice entre les Hommes
. Instauration de l’honnêteté et de l’équité dans toutes les transactions entre les Hommes
. Application réelle des principes de liberté, d’égalité et de fraternité
. Appel à limiter l’ambition matérielle excessive
. Enseignement de la modestie et de la piété
. Etablissement d’un esprit positif et constructif où chacun apporte des solutions
. Les liens familiaux, amicaux et de voisinage renforcés
. Les liens sociaux fondés sur l’amour et le respect
. L’alcoolisme et les fléaux des jeux d’argent et de la drogue sont abolis (et leurs conséquences éliminées)
. La tolérance et le respect des différences installés au sommet des principes qui régissent les relations entre les humains
. Respect de l’ordre que Dieu a créé dans la nature (et préservation des équilibres)
. Absence de toute forme d’atteinte à la dignité des femmes (prostitution, harcèlement, discrimination, inégalité de traitement, viol, pornographie, etc.)
. Le sens de la vie clairement défini : vivre avec Dieu dans une relation de confiance, d’amour et de gratitude. Cela englobe naturellement le fait de se conformer à Ses directives (ce qu’Il rend licite, obligatoire, interdit…).
Imaginons un instant l’état de notre monde si ces valeurs étaient appliquées à 100 % (ce qui est impossible à atteindre, mais c’est un simple exercice mental pour établir la comparaison avec notre monde actuel).
A minima, toute personne sensée admettra que avec ou sans ce cadre de référence : ce n’est pas pareil du tout !
Il est évident par ailleurs, et sans l’ombre d’un doute, que la situation du monde serait meilleure (avec ce cadre de référence) que celle que nous vivons !
(*) Pour connaître les fondements de ce cadre de référence dans le Coran, nous vous invitons à consulter :
. le site https://choisir-sa-religion.weebly.com/ qui présente ce qu’est l’Islam en réalité –et donc différemment de ce qu’en disent ceux qui le connaissent mal et ceux qui mentent délibérément car ils ne l’aiment pas)
. et le site http://discernement-islam.weebly.com/ consacré aux questions et aux thèmes qui suscitent des polémiques en rapport avec l’Islam, notamment en France (pour rétablir les vérités sur quelques thèmes qui souffrent de désinformation dans nos médias)
Au niveau individuel
Vivre avec ou sans Dieu : Ce choix produit une immense différence dans la manière de concevoir et de percevoir sa vie.
Naturellement, la différence principale se situe au niveau du sens de la vie et des réponses apportées aux questions existentielles de l’Homme.
Pour ne pas alourdir le propos ici, nous vous proposons de lire à ce sujet notre article https://choisir-sa-religion.weebly.com/sens.html qui explique le sens de la vie et la mission fondamentale de ceux qui croient en l’existence de Dieu.
Il vous paraîtra alors évident que ceux qui ne croient pas en l’existence de Dieu, conçoivent et perçoivent leur vie différemment. Ce n’est donc pas pareil du tout et cela ne revient pas du tout au même !
Connaître et accepter sa mission fondamentale dans la vie et savoir sur quels critères nos actions seront évaluées, tout cela diminue l’incertitude et l’inconnu qui génèrent tant de stress.
Une autre différence très importante (entre vivre « avec » ou « sans » Dieu) se situe dans la manière particulière des croyants de faire face aux épreuves difficiles qui jalonnent la vie.
Cette manière des croyants de vivre les événements difficiles favorise le recul, la sagesse, la remise en question et diminue fondamentalement le stress et l’anxiété.
Une autre différence (entre vivre « avec » ou « sans » Dieu) se situe au niveau de la confiance que les croyants placent en Dieu : cela les amène à être structurellement moins stressés.
Un croyant qui connaît et adhère aux valeurs de bonté et de bienveillance envers les autres (autres humains et autres être vivants) vivra avec un état d’esprit apaisé (et donc moins stressé et anxieux).
Un croyant qui vit une injustice (du genre que la justice des Hommes ne peut totalement réparer) tout en ayant la foi dans une justice divine qui fera le nécessaire pour rétablir la justice et réparer complètement les préjudices (et récompenser de la patience par-dessus le marché), vivra plus sereinement que celui qui n’admet pas cette perspective de justice divine réparatrice.
Un croyant convaincu que toute épreuve difficile comporte un bien pour lui, traversera cette épreuve de manière plus sereine malgré la douleur ressentie.
Un croyant vivant en pleine conscience des bienfaits que Dieu lui donne et de la beauté de toute chose créée par Dieu vivra dans une perception émerveillée, heureuse (et pleine de gratitude) de la vie ici-bas. Encore moins de stress et d’anxiété.
Pourquoi répéter tant : moins de stress et d’anxiété ?
D’abord parce que c’est vrai (comme nous venons de l’expliciter).
Ensuite, parce que ce fameux stress a de fâcheuses répercussions physiologiques !
Vivre avec ou sans Dieu n’est donc pas neutre pour la santé psychique ET physique !
Le stress, est un fléau terriblement répandu. C’est un état de tension qui affecte d’abord l’esprit puis le corps.
Il est causé par des sentiments de crainte, d’insécurité, de désespoir, d’anxiété et de peurs telles que celle de perdre son emploi, ou par des soucis de santé, ou encore par des événements tristes, comme la perte d’un membre de sa famille.
Le corps répond à cette situation de stress par des réactions biochimiques.
Le taux d’adrénaline dans le sang augmente, accompagné par un pic du niveau de la consommation du cholestérol et les acides gras circulent dans le sang, la pression sanguine s’accroît et le rythme cardiaque s’emballe.
Un état de stress chronique provoque des dégâts graves dans le corps, surtout au niveau physiologique. Du fait du stress, les taux de cortisol et d’adrénaline augmentent de façon dramatique. Le glucose arrivant au cerveau entraîne une augmentation du taux de cholestérol, ce qui est dangereux pour l’organisme. Le stress chronique favorise les maladies cardiaques, l’hypertension, les ulcères, la dépression, les maladies liées au système respiratoire, l’eczéma, le psoriasis et beaucoup d’autres désordres psychosomatiques.
Il y a une étroite relation entre le stress et le système immunitaire.
Le stress psychologique a un impact très négatif sur le système immunitaire. Il le détruit, le ravage. Sous l’effet du stress le cerveau augmente la production de cholestérol dans le corps et affaiblit le système immunitaire. En d’autres termes, le cerveau, le système immunitaire, et les hormones sont en étroite relation.
Les études menées sur le stress psychologique et physique révèlent qu’après un stress de longue durée, la résistance du système immunitaire diminue en rapport avec l’équilibre hormonal de l’organisme. Il est aujourd’hui bien établi que de nombreuses maladies dont le cancer, apparaissent et s’aggravent sous l’effet du stress.
C’est pourquoi un esprit paisible, une disposition d’esprit marquée par la sérénité restaurent l’équilibre du corps. Cela entrave l’émergence de facteurs contribuant aux maladies.
On constate que les gens joyeux et sereins, ceux qui prennent la vie de façon positive et voient un bien dans tout ce qui leur arrive, et qui ne sont pas en proie au pessimisme, restent vigoureux longtemps, leur vieillissement est beaucoup moins rapide que chez d’autres.
Pourquoi les magazines de santé insistent-ils sur le fait que leurs lecteurs devraient être positifs dans la vie ? Parce que c’est le gage d’une existence heureuse ! Ce qu’ils recommandent en général, c’est de rester calme et optimiste dans toutes les situations.
Mais si on examine ces propos avec soin, on voit que ceux qui vivent « avec » ou « sans » Dieu ne sont pas équipés de la même manière pour atteindre cet idéal.
Vivre avec ou sans Dieu : ce n’est définitivement pas pareil !